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Les Elucubrations de Dame Chou

Derniers commentaires
20 septembre 2020

une demoielle sur une balancoire

  Voulant encore s’amuser

Jeannette se balançait

Au gré de son plaisir

Excitant de nombreux désirs

 

Elle montrait ses appâts

Aux nombreux badauds d’en bas

Jupon volant et cuisses à l’air

Elle volait, volait  la téméraire

 

 

Sous son cotillon,  le cul nu

Elle  montrait, cette ingénue

Une douce toison  et sa fente

En riant de leurs attentes

 

Plusieurs en bas, bavaient d’envie

De lui faire connaître la vie

D’autres plus raisonnables

Se contentaient de mots aimables

 

Beaucoup plus aventureux

S’octroyant  le droit amoureux

 Certains profitantt de l’occasion

Pour  agir en violation

 

 Elle eut beau se plaindre

La malheureuse et  de geindre

Rien ne lui rendra sa virginité

Et à vie, sera marquée

 

 Mieux vaut un cul caché

Qu’un cul amoché

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17 juillet 2020

l'auberge des fortifs 'en vieux français)

What do you want to do ?
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Quelques ribaudes  en recherche de quelques flandrins, haranguaient les chalands en ces termes..  Viens ici,  petit jocrisse,  viens jeter  ta gourme dans mes bras accueillants je te promets moult mignardises comme jamais tu ne les as  connu, même au cours d’une ribote,  et c’est pas des carabistouilles, j’te jure

Ton biborion   en restera tout ébaubit,  les radeuses  ne sont pas bancroches., Il ne t’en coûtera  que quelques tunes, pas de quoi te priver.   A moins  que tu ne sois un fesse mathieu, ou que tes génitoires soient vides  après une visite au lupanar du coin

Tu barguignes,  tu penses que je te raconte des billevesées, que nenni, tu as devant toi la reine de la turlute, faut pas s’esbigner comme ça, espèce de  jean-foutre

Va donc pétuner ailleurs…

What do you want to do ?
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16 juillet 2020

Ondin

+

What do you want to do ?
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v Je file sur l’eau, sa température est propice à l’abandon,  quelques petits poissons me font fête, les algues tournoient autour de ma tête, une musique douce me calme doucement.  Les rochers, qui abritent de beaux spécimens de la flore et de la faune de la rivière me servent de cachettes. Le rêve

Sur la rive surgit un bel homme qui se promenait tranquillement, rêvant à je ne sais quoi, à une belle perdue, à une autre entrevue, à une autre vie ?....

De mes chants mélodieux, je l’attire dans mes filets, il écoute, l’oreille aux aguets, les yeux rivés sur le fleuve qui parait apaisé er prêt a l’accueillir dans ses méandres.

Il plonge, et facilement me rejoint.  Nous  nageons de concert, tantôt devant lui, tantôt derrière, l’eau glisse sur nos corps, je ne m’étais pas trompée, quel bel ondin il fait

Je me rapproche doucement de lui, mes mains parcourent son corps, s’attardant sur ses fesses, son ventre, s’insinuant jusqu'à son entre-jambes, caressant tout ce qui se trouve à ma portée.

Mes lèvres coquines happent au passage un sexe prêt à être avalé. Mes jambes encerclent son bassin, mes fesses se soulèvent et accrochés l’un à l’autre, nous filons, nous filons..

La petite musique continue dans ma tête :  dreling  dreling,  tiens il y à le téléphone sous l’eau ?  

Alors, qu’est-ce que tu fous, voilà 10 minutes que je sonne, où es tu donc

Complément dans mon rêve, je réponds,  dans ma baignoire, avec Ondin………………….

Du rêve à la réalité, il y a comme fossé….

What do you want to do ?
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What do you want to do ?
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2 avril 2020

beaux masques

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Ou es  tu beau masque

 Masque fait d’aigrettes d étoiles  et de brillants

 De plumes  d’oies non confites naturellement

Présents  au carnaval, ci ou là selon les désirs

Portés  avec le sourire, le bonheur  et le plaisir

 Le loup qui cache si bien l’anonymat du porteur

Et qui peut,  au  petit bois ,trouver son bonheur

Près  d’un chaperon rouge ou rose, selon l âge

Qui apprécie un instant, une aventure peu sage

 

 Par pitié  rendez nous les  beaux masques

 Et notre joie de vivre

 

+v

11 octobre 2019

les intrus

Autour d’un plat abondement rempli

Des matous  miaulaient, que faites-vous ici

Le plat des voisins est donc si laid

Que vous venez boire notre lait

A bat les intrus, faisons la guerre

Car nous ne les apprécions guère

Nous vivions tranquilles en ce lieu

A l’abri, sous les orangers délicieux

Et depuis l’invasion d’autres plaisirs

 De ceux qui préfèrent l’amour et le désir

La chaleur et la convivialité de bon aloi

Nous  sommes, nous aux abois

Et si notre quotidien est bancal

Haro sur ces nouveaux envahisseurs

C’est d’eux que vient notre malheur

Oubliant souvent quelque peu

Qu’avant ce n’était pas mieux

Ne faudrait il pas dirait un sage

S’allier plutôt que faire rage

Parfois certaines différences

Peuvent de bon cœur faire alliance

Ne  jamais rejetez  sur autrui

Les fautes d’hier et d’aujourd’hui

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10 octobre 2019

au coin d un bois ( avertissement)

 Un jeune homme

Le long d’un petit bois

SE trainait l âme en  peine

Nez en l’air et le reste coi

 

Une belle fille, qui passait par là

L’invitât à voir ses dentelles

 En  retroussant son jupon

Elle louchât vers son pompon

 

Que vois le là gentil damoiseau

Une bosse à votre pourpoint

Venez donc, de honte n ‘ayez point

De ce truc là, je le ferai beau

 

Aussitôt  elle le dépouilla

D’une main preste elle s’aventura

 Et vivement,  lui substitua

Sa bourse pleine et sa queue de rat

 

Damoiseau, si au coin d’un chemin

Vous rencontrez des demoiselles

Elles ne pensent  qu’a leur bien

En écus,  en  vous coupant les  ailes

 

18 septembre 2019

SLAM ça ira ça ira

 Ha ça ira ça ira………

Les mauvais baiseurs  on les pendra

Vient ma tendre et douce Camille

Turluter derrière la bastille

Et je te fais la promesse

Mes mains sur tes fesses

Que maintenant et dorénavant

Ça ira mieux   qu’auparavant…

*

Où sont les neiges d’antan

Oyez oyez Maistre et manant

Les  pucelettes de notre temps

Aiment les valetons et le plaisement

 Les troubadours pour leurs poésies

Les plaisants pour leurs flatteries

Les tayons pour leurs escarcelles

Qu’elles soient dames ou pucelles

*

J’ai l’ cœur dans les chaussettes

Mes pieds gonflent dans mes baskets

Pourtant j’ drague nuit et jour

L’amour me fuit, jamais d’bonjour

Quand j’ vois une belle nana

Et que j’ui dit, viens chez moi

Y a du coca et des préserv. en chocolat

y a rien à faire elle m’kiff pas

 

5 septembre 2019

l ane qui rit fable animaliere

 Bien à l’ abri dans sa prairie

Loin des pleurs et des cris

L’œil narquois comme toujours

Un âne surveillait la basse cour

 

Quelques paons faisaient étalage

De leur plumage et de leur ramage

Auprès des poulettes toutes ébaubies

Qui en restaient toutes étourdies

 

 Très peu de poulet en vérité,

Leurs ergots étant émoussés

Ils  étaient discrets ces fins larrons

Ne voulant pas finir en  chapons

 

Parmi toute cette courée

Parfois se faufilaient, mal inspirés

Quelques prédateurs qui par leurs cris

S’amusaient à semer la zizanie

 

Les poulettes se défendaient

Aussi bien qu’elles le pouvaient

Mais pas de coqs,  pour les défendre

Ils ne pouvaient les comprendre

 

Ils ne pensaient ces vauriens

Qu’à les sauter pour leur bien

Et si un jour ils finissent en casserole

Moi,  qui ne suis qu’un âne, je rigole

 

26 juin 2019

mo n°2 fable animalieredestie canine

Un brave corniaud, s’il en fut

Se baladait, le long des rues

Traînant sans but précis

Il allait bon train, selon son envie

 

Croisant maints congénères

Qui ne se croyaient pas peu fiers

Ils ne pouvaient avec lui batifoler

Par leurs pedigree, ils étaient obnubilés

 

Un gentil corniaud ne peut en aucun cas

S’acoquiner avec eux, trop délicats

Entre eux ils doivent seulement rester

Aucune autre relation ne doit les concerner

 

Mais, au détour d’un chemin

Lui, le vagabond, le moins que rien

Fit sa fête à une belle déesse

Qui accepta sans histoire ses prouesses

 

D’avoir lui, pauvre bâtard

Prouver qu’il n’était pas un tocard

Auprès de sa belle, il fut heureux

Et parmi les racés  fit des envieux

 

La naissance ne fait pas l’intelligence

La simplicité vaut bien la liberté

 

 

 

 

 

 

24 juin 2019

la marche des canards (fable animaliere n°1

Sur le chemin, des canards se dandinaient

Allant de plumes en plumes, ils cancanaient

N’épargnant aucun de leurs tribus

Mettant la vie des autres au rebut

Quelques uns, croyant tout savoir

Pensaient s’octroyer le pouvoir

De critiquer la vie de leurs congénères

Eux seuls étant le top en la matière

Certains, avides de reproduction

Doublaient la file avec  l’intention

De se faire passer pour un paon

Jouant de leurs voix en criant Léon…

 Mais les canes, gentilles femelles

se moquaient de leurs querelles

Elles n’avaient que faire de leurs airs

Elles seules choisissaient leurs partenaires

 

 

 

 

 

 

 

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