2 janvier 2015
rêverie d'un soir
Trop penser me font amours
Dormir je ne puis
Si je vois mes amours
Toutes les nuits ( anonyme du xv eme siecle-)
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Dans ma couche certains soirs
Avant la nuit profonde, le noir,
Attendant l’heure de minuit
Je pense à eux, à lui
Qui viendra meubler mes rêves
Avant que la nuit ne s’achève
Les amours de ma jeunesse
Ou ceux de divine maitresse
Étaient-ils tous purs amours
Ou juste l’histoire d’un jour
À trop penser, je me perds
Ma tête tourne à l’ envers
Aux amours d’antan je préfère
Ceux auxquels j’espère
Ouvrir mon cœur et mon lit
Sans pour cela nuire à ma vie
Mais qui serait là au petit matin
À l’heure des tendres câlins
Aux vieux rêves j’aimerais, lui
Mais moi seule , avoir ne le puis
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