10 janvier 2015
toi, mon amour
Toi qui n’es pour moi que tendresse
Et qui toujours n’es que caresses
Toi, qui les soirs et les matins
Recherche contre moi les câlins
A peine rentrée, c’est la fête
Tu me reçois sans faire la tête
Tu me suis partout pas à pas
En pensant, enfin te voilà
Nul reproche à mon encontre
M’accusant d’autre rencontre
Ta douce présence me console
Quand mon cœur en a ras le bol
Toujours en quête de baisers
De tendresse désintéressée
Pourtant je suis une sans cœur
Pour t’avoir privé de ton honneur
Mon doux pompon, petit siamois
Tu te retrouves, pardonne moi
Sans queue, c’est de naissance
Mais sans couille, quelle déchéance
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