11 octobre 2015
nostalgie
ô rage, ô désespoir
Cache-toi, vilain miroir
Quand les années passent
Les espoirs se tassent
Si l’esprit est encore la
Le corps hélas ne suit pas
Le cœur ranime les souvenirs
Mais crains le proche avenir
Où sont mes plaisirs d’antan
Ceux que j’aimais tant
La vie pleine de désirs
La joie, les rires, les plaisirs
Toutes ces belles choses
Qui méritaient une pause
Suis-je à ce point lasse
Que dès lors tout me rase
Même la société a changé
L’homme me rend enragée
Sa bêtise et sa violence
Font que je perds patience
Pourtant je garde l’espoir
D’un moment, d’un soir
Ou je pourrais prendre une main
Et aimer les lendemains
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