30 janvier 2015
Phébus mon bel amant
Que je suis bien, étalée au soleil
La tête à l’air et tout le reste pareil
Phébus, mon doux et tendre amant
Ne m’inflige pas de coups brûlants
De rose je ne veux pas passer
Au rouge carmin sur mon fessier
Mets du baume dans tes ardeurs
Ils ne seront ainsi que meilleurs
Offre-moi juste, pour me délasser
Ton rayon, qui doit juste passer
Entre mes jambes pour m’émouvoir
Et laisser la place à un autre savoir
Qui aimerait aussi trouver le chemin
D’un plaisir partagé, plus humain
Et découvrir ainsi un divin passage
Pour des caresses un peu moins sages
Phébus, tu as bien amorcé, Eros
Cet autre amant, mon tendre héros
Saura faire de ce corps nu, étalé
Une source de plaisir durant l’été
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